Le pays a été suspendu de la CEEAC ainsi que de l’Union africaine après le renversement d’Ali Bongo Ondimba en août 2023 jusqu’à un « retour à l’ordre constitutionnel ».
Or, ce samedi 9 mars, les représentants des 11 pays de la Communauté ont constaté « des avancées significatives » dans ce processus, « marquées par l’adhésion du peuple et la mise en place d’un chronogramme pour une transition de 24 mois ».
La CEEAC a également annoncé la levée des sanctions décrétées à l’encontre du pays.
Le gouvernement gabonais nommé par le général Oligui Nguema avait pour sa part confirmé la tenue d’un Dialogue national inclusif du 2 au 30 avril prochain.
Ses participants devront élaborer notamment une nouvelle Constitution qui sera soumise à référendum.
Redaction/ grand_reequilibrage









