Attendu au vendredi 22 Mars dernier, les listes provisoires des candidats aux sénatoriales et aux différentes élections des exécutifs provinciaux ne sont toujours pas disponibles. Des sources concordantes évoquent des pressions que subiraient les membres du bureau de la CENI par certains candidats qui auraient été préalablement invalidés par la centrale électorale lors des législatives nationales de décembre 2023.
« La Fraude corromp tous », pour la crédibilité du reste du cycle électorale la CENI aurait refusé d’embarquer les candidats qui avaient vandalisé ses matériels et menacé le personnel électorale, le faire serait se contredire nous révèle la source.
Les suites judiciaires contre les candidats accusés de fraudes électorales n’étant pas totalement closes, il serait préjudiciable pour la CENI d’accepter la candidature d’un potentiel condamné.
Cette résistance de la CENI pose cependant un problème au principe de présomption d’innocence, vu la lourde condamnation pendante sur les présumés fraudeurs invalidés.
Denis Kadima s’opposerait aux droits de haute personnalité tel que Gentiny Ngobila, Evariste Boshab et bien d’autres invalidé candidats sénateurs ou gouverneur. Il violerait ainsi la loi en se mettant entre ses personnalités et leur droit d’être éligible car seul les Cours et Tribunaux sont compétents pour établir la culpabilité des uns et des autres. Affaire à suivre.
DMK/TBN









