Dans un contexte où la République démocratique du Congo fait face à une agression multiforme, la cohésion nationale autour du Chef de l’État n’est pas un luxe: c’est une nécessité vitale. Pourtant, alors que nos forces armées et les patriotes engagés sur le front versent leur sang pour défendre l’intégrité du territoire, certains, tapis dans l’ombre des rédactions, s’emploient à saper cet élan d’unité.

Des sources concordantes et crédibles révèlent que le journaliste Mills Tshibangu aurait été grassement rémunéré – à hauteur de 100 000 dollars américains – par le mouvement terroriste AFC/M23, pour orchestrer une campagne de désinformation ciblée contre les défenseurs de la République. Si ces allégations se confirment, elles relèvent non seulement d’une faute déontologique grave, mais d’un acte de haute trahison.

En multipliant les attaques infondées contre les figures de loyauté, ce prétendu journaliste ne se contente pas de dévoyer sa plume: il se transforme en vecteur de guerre psychologique, au service d’une entreprise criminelle qui endeuille nos familles et menace notre souveraineté. Ce n’est plus du journalisme. C’est une opération de sabotage médiatique.

Il est temps de nommer les choses. La liberté de la presse, si précieuse dans toute démocratie, ne saurait être le paravent de la manipulation, encore moins de la complicité avec des forces hostiles à la nation. Le droit d’informer ne confère pas celui de trahir.

Dans cette guerre asymétrique, où les armes conventionnelles croisent les armes de l’esprit, la vigilance citoyenne devient un devoir sacré. Le peuple congolais doit faire bloc derrière ses institutions, soutenir ses forces de défense, et rejeter fermement les voix de la division, qu’elles s’expriment dans les maquis ou dans les colonnes d’un journal.

L’heure n’est plus aux querelles stériles ni aux distractions commanditées. L’heure est à l’unité, à la lucidité, et à la mobilisation patriotique. Car face à l’agression, chaque mot compte. Et chaque plume doit choisir son camp: celui de la vérité ou celui de la trahison.

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